Son parfum était celui de la forêt. Sa poitrine, je le sentais, se soulevait avec difficulté.
- Tu n'es pas obligée d'être forte tout le temps ou de faire semblant de l'être. Tu as le droit de raquer aussi.
Ma bouche s'entrouvrit, et un hoquet de douleur m'échappa, suivi par des milliers de larmes brûlantes qui s'ecrasèrent contre le tee-shirt de Liba.