Ezrah ne me rend pas « heureuse», loin de là. Non, il me rend vivante, et je préfère mille fois cette sensation au bonheur. Il a initié des jeux qui m'ont redonné le goût du risque, l'envie de combattre. Même s'ils ont été souvent beaucoup trop poussés, je ne peux nier avoir pris bien plus de plaisir que je ne l'aurais dû. L'adrénaline a toujours été une drogue puissante pour moi, et Ezrah est malheureusement mon dealer favori du moment.