Je n’ai même pas besoin de consulter mon chef pour leur sortir l’habituel refrain : certes, la guerre n’est pas finie, mais la fin est proche. Pourquoi se battre encore, faire de nouveaux morts ? Et pourquoi risquer que de tels secrets tombent aux mains des Russes ? Ne vaudrait-il pas mieux que cela soit dans celles des Américains ?