Elsa Kedadouche

• Un petit bijou de tendresse pour célébrer toutes les mamans, que ce soit les mères qui ont portées dans leur ventre et/ou dans leur coeur. Les mamans qui ont adopté, ou toutes les mamans qui n'ont pas portés dans leur ventre, ont ici toute leur place, de façon bienveillante et sans jamais questionner leur maternité (comme c'est si bien indiqué en quatrième de couverture).



• Lu grâce à ma médiathèque et sa sélection pour la fête des mères, ce fût une très jolie découverte. Je regrette simplement le fait que ça soit en petit format (cela n'enlève en rien sa qualité cela va de soit), un bel album plus grand aurait été un délice pour davantage apprécier les illustrations ainsi que les petits textes tout doux.



« Ma maman m'a portée dans ses rêves.

Bien avant ma naissance, elle m'attendait déjà. »



« Ma maman m'a portée dans sa tête.

Je n'étais pas dans son ventre,

mais elle pensait à moi tout le temps. »

(citations du livre)



• Que ce soit dans l'écharpe, dans ses bras, sur son dos... Il y a bien des façons de porter son enfant. Un ouvrage accessible dès 1 an d'après la maison d'édition. :-)

L’amoureuse de Simone nous raconte le premier amour de Simone, une petite fille de six ans. Elle nous livre sa passion pour Makéda, son amie, et tout ce qu’elle ressent au fond d’elle.



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Un très bel album qui aborde les émotions ressenties lors de la naissance d’un amour, les joies partagées, les petits bonheurs, mais aussi les orages qui surviennent, les disputes. C’est un ouvrage que j’avais repéré au Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, un ouvrage à la fois beau – les couleurs explosent, et les personnages sont adorables avec de grands yeux expressifs comme on peut le voir sur la couverture – et engagé.



En effet, la maison d’édition On ne compte pas pour du beurre s’est fixée comme objectif de créer des albums qui visibilise des personnes peu représentées dans la littérature jeunesse, et ici, le contrat est réussi avec brio ! D’ailleurs, ce qui est d’autant plus chouette, c’est que l’amour de deux filles n’est pas le centre du sujet, mais bien l’amour tout court.



Un album inclusif, mignon, et plein de bienveillance !

On nous a offert ce livre et il nous a vraiment rendu heureuses, parce qu'il est beaucoup trop rare de voir des albums jeunesses avec des personnages qui ne sont pas blancs et c'est encore plus rare d'évoquer un amour lesbien dans une histoire pour les plus jeunes. On oublie trop l'importance que ça peut avoir pour les générations futures.



Les dessins sont sublimes, l'histoire est adorable, c'est un très bon album jeunesse qui est très bien fait. Si vous avez des enfants à qui l'offrir ou si vous souhaitez le découvrir vous même, n'hésitez pas ! Nous on a adoré et on a hâte de pouvoir le lire à nos futurs enfants.

Un album tout mignon et simple sur deux petites amoureuses. J'ai bien aimé que soit abordées aussi bien les joies que les disputes des deux fillettes. Les adultes représenté·es montrent aussi un bel exemple de comment être à l'écoute des enfants, les aider à comprendre leurs émotions et celles des autres.

Ici, nous découvrons l'histoire de Simone. Une petite fille qui est amoureuse de Makeda. Mais voilà, l'amour ce n'est pas toujours facile. Dans cet album, nous allons vivre une dispute entre Simone et Makeda. En fait, c'est surtout le quotidien de deux petites filles qui jouent ensemble et qui ne sont pas toujours d'accord.





J'ai découvert cet album au salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil. Je dois dire que j'ai plus été séduit par le projet que par l'objet livre en lui-même. En effet, je ne suis pas fan des illustrations (les goûts et les couleurs, on y peut rien). Le projet de l'inclusion par contre je trouvais ça super intéressant. L'amoureuse de Simone a été une assez belle surprise. J'ai plutôt bien aimé. Le sujet principal, c'est vraiment le quotidien de deux petites filles et pas le fait qu'elles soient noires et que ce soient deux petites filles qui s'aiment. Et ça, j'aime bien, je pense que ça permet au plus grand nombre de s'identifier aux personnages. Et j'ai fini par m'habituer aux illustrations.





Je pense que je vais lire d'autres livres de la maison d'édition parce que je trouve que ça change un peu de ce qui existe déjà dans l'édition jeunesse.





Je le conseille déjà pour soutenir une maison d'édition toute jeune et parce que l'album est plutôt intéressant.

Encore un livre des éditions On ne compte pas pour du beurre, parce que je n'ai pas fini ma série de livres pour enfants 🙈

Celui-ci est pour les petits, Ems enfants de deux et quatre ans l'aiment bien tous les deux ^^

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Les dessins d'Élodie Maulucci sont super mignons et très doux, une très jolie découverte.

Le texte d'Elsa Kedadouche est simple et assez court, il laisse de la place à la discussion et aux questions des lecteurices (qui ne manquent pas !).

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L'histoire permet une représentation banalisée de personnes minorisées, c'est très appréciable et je vous recommande encore une fois cette maison d'édition et ses livres tout doux 💖

L'amoureuse de Simone est un livre super chou, les dessins d'Amélie-Anne Calmo sont très très beaux et se marient divinement bien avec le texte d'Elsa Kedadouche.

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L'histoire est très mignonne, elle montre comment Simone se rend compte que Makéda est son amoureuse et comment elles se réconcilient quand elles se disputent, parce qu'elles ont toutes les deux un sacré caractère !

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Ça fait super longtemps que je voulais le lire et je suis ravie de l'avoir enfin découvert, il est encore mieux que ce que je pensais. Mon fils s'en régale, c'est encore un livre qui est parfait pour représenter les personnes minorisées (orientations amoureuses et antiracisme). Je vous le recommande chaudement.

Dans cet album subtil, les thématiques du pouvoir, de l’égalité des sexes, de la morale et de la reconnaissance de la différence (qui ne doit pas provoquer un jugement) sont exposées. L’illustration aux tons pastel relativise les questions philosophiques et le propos, ouvertement didactique et assumé comme tel, s’apaise autour de la sécurité affective et de la revendication de la différence comme étant positive.
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