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Critique de Myriam3


Je suis sans doute passée à côté de ce que Zéro Calcare voulait me dire avec ce récit... Tout commence pourtant assez clairement, avec la disparition de la grand-mère du narrateur, celle qui, avec sa mère, l'a élevé. A Zero est confiée la mission de retrouver dans sa maison cette bague qu'elle chérissait tant pour qu'elle puisse être enterrée avec. Sacrée mission pour ce garçon pas très dégourdi ni socialement ni sentimentalement, mais qui, heureusement, sera accompagné de son pote Secco: non que celui-ci soit très efficace, mais grâce à ses questions sur la mamie, Zero va oser lui-même tenter enfin de fouiller le passé obscur de cette grand-mère française élevée par des aristocrates russes et débarquée dans les années 50 dans cette banlieue un peu pourrie de Rome.
Le jour même de l'enterrement, sans doute à cause de l'émotion et des révélations que lui feront sa mère sur ce passé, Zero nous amène dans des élucubrations dans lesquelles il est difficile de faire la part de ce qui est réel et de ce qui sort tout droit de son imagination débridée, et c'est là que moi-même j'ai commencé à sombrer... un renard roux s'invite à l'enterrement, roux comme l'était sans doute ce grand-père anglais qu'il n'a jamais connu...
J'ai pataugé dans cette deuxième partie et j'en suis sortie plutôt frustrée et déçue, car j'avias adoré Kobane Calling, du même auteur.
L'histoire de cette femme abandonnée puis adoptée n'en reste pas moins touchante et rocambolesque, tout comme l'est le narrateur avec ses névroses.
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