Et pour que l’orme soit d’absence absous et fendu à son centre...
Et mange bouche ouverte la levée d’un beau jour.
Et cède à un vallonnement léger de part et d’autre du dévalement des ciels Anne s’assied et de part et d’autre passe la main sur les piliers rouges comme Dominique la guide au grand dépôt de meubles et d’une proue de coiffure fine au dromadaire de quelques traits sommaires lui trousse la nuque et la majesté où s’épand un voile cru de champignon amande
Il y a sur l’orme qui est en mer un trou par lequel.
Et de ce trou pend un matin où les cuisses ramenées d’Anne font levier vers les montants du monde.
Almaïra cogne Foscolo à la poitrine et le mord au cou. Les noirs sur la coudée caressent la noix et la carpe aux lèvres. L’écoute prend sur soi verticale le filet d’une boue lentement reportée sur le monde levé parce qu’à la trajectoire s’oppose/ décline au fond du pli le rayonnement de la joue et à l’œil un caprice de rouge fraîche fleur.
Au cœur de la terre l’axe est ménagé par les rameurs et le silence de la nage fait cran à la proue d’éternel/ et fait face. Mais parallèlement c’est un nœud où fondent les mesures de tempête et la mort ceinturée par les claires que raffine le galbe ressourcé des chairs pour qu’une glande sourde ouvre les dents et mime la grande peur.
Sebastião de Solís a deux filles dont l’une, Anne/Quand Juliano Garcia prit Anne, un rocher entra dans l’orme pour qu’y dansât et tranchât la lune d’un long voyage à la voix en allée.