Une farce facile qui repose sur l'opposition hommes/femmes en reprenant de nombreux clichés misogynes du XIXème siècle : l'homme est grossier, infidèle, crie fort, et est mal habillé. La femme est aimante, douce, toujours soucieuse de son apparence même en tenue de deuil.
L'intérêt - sans doute le seul dans cette vingtaine de pages - réside dans ce qui provoque le dénouement, le fait que la femme soit prête à se battre - tout en étant infantilisée par le fait qu'elle ne sache pas utiliser un pistolet. Comme une inversion des genres qui séduit l'adversaire, l'émotion d'un côté, la détermination de l'autre.
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