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Huitième enquête de la saga William Monk.🎩


Le sergent Evan est appelé dans une rue sordide de Seven Dials où gisent deux hommes. Rapidement, le sergent s'aperçoit que le plus jeune des deux est encore en vie et le fait transporter à l'hôpital. La suite de son enquête lui permet également d'établir plusieurs faits : les deux hommes Leigthon Duff et Rhys Duff sont père et fils. Ils sont issus des beaux quartiers. Reste à déterminer pour le sergent Evan les raisons de leurs présences dans les rues mal famées de Seven Dials et les raisons de leur agression.
La première question est vite résolue étant donné que les hommes des hautes sphères apprécient de s'encanailler avec des femmes de petite vertu. Seulement, les apparences et les constations les plus élémentaires peuvent être mises à mal.... surtout lorsque Monk enquête sur une série de viol dans un autre quartier... et que ses pas le conduise vers Rhys Duff.


Ce nouvel épisode est l'un des plus tordus et des plus sombres de la série. 😮La thématique de la prostitution et du viol y est prédominante avec une retranscription dans l'histoire des pensées de l'époque. Selon la bonne société victorienne, la prostitution est une honte... une femme qui dit oui une fois ne peut plus se rétracter et... bien évidemment, tout homme peut y trouver du plaisir du moment que sa débauche n'est pas exposée sur la place publique. Bref, une société victorienne pudibonde et hypocrite au possible.😒
Autre élément des plus intéressant concerne l'aspect économique relaté par Anne Perry. Les conditions de vie des femmes de l'époque contrainte de se prostituer occasionnellement afin de nourrir leurs enfants ; ou encore celles de jeunes enfants se soumettant à la prostitution pour subvenir aux besoins de la famille à de quoi faire frémir. Anne Perry nous offre une description sans concession de cette époque où la société se désintéresse totalement de la population de ces quartiers pauvres.😞

Parlons maintenant de l'histoire. Un cri étranglé aborde une thématique vraiment très dure : la prostitution et le viol. L'intrigue est captivante avec, comme toujours des rebondissements et des révélations finales qui stupéfient....Seulement, j'ai trouvé ce récit traînant en longueur. le récit peine à se mettre en place, l'enquête semble avancer à un rythme d'escargot et nos héros semblent effacés et insipides. L'une des caractéristiques de cette série est souvent d'avoir un récit en deux temps : l'enquête et le procès. Ici, la partie procès ne tient que dans l'ultime chapitre. La révélation finale nous est assénée puis le livre s'achève.... NONNNNN ... 😡J'aurai aimé plus ! J'aurais apprécié voir Rathbone amener petit à petit les éléments qui permettent de comprendre les choses.

Heureusement😃, ce roman permet également d'en apprendre plus concernant notre trio. Ainsi, nous découvrons un rapprochement entre Rathbonne et Hester... un Monk perdu dans son passé et tentant de comprendre les tensions qui existent entre lui et Runcorn son ancien ami et ancien chef à la police. Anne Perry nous dévoile un pan de la vie de Monk assez sombre et intéressant.

Pour résumer : Une enquête troublante, forte en émotion et révélation. Vivement la suite !🤗
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Deux hommes sont retrouvés battus à mort dans une ruelle malfamée de Londres. Etaient-ils venus s'encanailler ?
Monk va devoir faire la lumière sur cette affaire beaucoup plus compliquée qu'elle n'en a l'air.
Le quartier où les deux hommes ont été agressés est connu pour être un repaire de voleurs, de bars louches, et les hommes du beau monde viennent y retrouver des prostituées.
L'un des deux hommes survit miraculeusement et c'est Esther Latterly qui va venir le soigner à domicile. On va donc suivre en parallèle l'enquête de Monk et la convalescence du survivant.
J'ai une fois de plus pris beaucoup de plaisir à suivre cette enquête, dans laquelle on plonge au coeur d'un quartier sordide, ravagé par la misère, et dans laquelle on comprend vraiment que les connaissances en médecine de l'époque victorienne étaient très différentes d'aujourd'hui, notamment notre connaissance de l'importance de l'hygiène dans les soins médicaux.
Une très bonne enquête, même si le thème est difficile, car très noir, et nous montre la face plus sombre des hommes.
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Encore un super moment passé en compagnie d'Anne Perry.

L'histoire commence sur des chapeaux de roue avec Evan qui retrouve deux personnes, un gentleman et son fils, battus à mort dans la rue. Ce dernier, toujours en vie, est confié au soin d'Hester et, choqué, semble incapable de proférer un seul mot. En parallèle, Monk est embauché pour dévoiler l'identité d'individus qui violent et passent à tabac des prostituées occasionnelles dans un quartier louche. Les deux histoires, on le sent très vite, se rapprochent. Contrairement au précédent tome, Monk a la part belle, ce que j'apprécie vivement. Et bien sûr, toujours cette chute, sordide, à la Anne Perry.

A nouveau, Anne Perry dénonce la misère de la classe laborieuse dans ce Londres victorien. On n'est pas sans compatir pour ces femmes violées et n'ayant aucun espoir d'une quelconque justice...

Anne Perry approfondit également la psychologie des personnages, surtout Monk. Monk comme mentor pour Evan. Monk toujours en proie à son amnésie qui entend lever le voile sur sa situation haineuse d'avec Runcorn. Et surtout ce triangle amoureux Monk/Rathbone/ Hester.

Un tome très intéressant, qui se lit très bien et qui suit les mécaniques habituelles.

Challenge le tour du scrabble en 80 jours (5e éd)
Challenge Séries
Challenge Mauvais Genre
Challenge Détectives littéraires
Challenge A travers l'histoire
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Une figure importante des bas-fonds de Londres demande à Monk d'enquêter sur les viols de plus en plus violents que subissent des prostituées occasionnels dans son quartier. Pendant ce temps la police tente d'élucider le meurtre d'un gentleman découvert dans un coin malfamé à coté de son fils blessé très sérieusement. Les deux affaires sont-elles liées ? Et si oui quelle est la nature de cette relation ? C'est la trame de fond de ce huitième épisode de cette série consacrée à William Monk. Au cours de l'enquête, ce dernier progresse dans la réminiscence de son passé et tente d'éclaircir les raisons de son affrontement avec Runcorn, son ancien collègue. Quant à Hester son coeur semble balancer quelque peu entre ses deux amis, ce qui ne l'empêche pas toutefois d'être aussi professionnelle et utile en tant qu'infirmière. On retrouve le schéma habituel d'un procès qui suit l'enquête, mais celui-ci est assez bref, les enjeux sont nébuleux jusqu'à la toute fin et les relations entre les trois complices de la série évoluent juste assez pour piquer notre curiosité quant à la suite des choses. Bref un opus entièrement satisfaisant !
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Un nouvel épisode de la série Monk qui nous emmène à la fois dans les bas-fonds londoniens et leur misère, et l'envers du décor des belles demeures de la haute société. Évidemment les deux ne sont pas sans rapport...
Encore une fois je suis bluffée par le talent de l'autrice pour construire ses intrigues, entre les fils rouges qui structurent la série (le mystère dû à l'amnésie du héros, qui prend un nouveau jour, et le trio amoureux entre les héros, qui se complexifie à souhaits avec cette enquête) et l'affaire qui occupe l'épisode.

L'enquête en elle même rappelle l'épisode 3 de la série, où il s'agit de défendre un coupable tout désigné, et pour les thématiques du viol, des abus et violence sexuelles. Un cri étranglé aborde également la thématique de la prostitution occasionnelle et du stress post traumatique des victimes qui sont au centre de l'intrigue.
Le roman et son dénouement se jouent autour de l'ambivalence du statut de la victime et du coupable dans un viol.

Un des plaisirs à la lecture de cette série vient de la répétition des procédés romanesques utilisés, qui donnent un cadre familier au lecteur. Évidemment on se doute que l'enquête de Evan et celle de Monk sont liées et que Rathbone sera placé au centre du jeu... Évidemment on sait dès le début que Hester sera la mieux placée pour résoudre l'intrigue.
Et on soupçonne vite autre chose qui s'avère décisif... mais ces acquis n'empêchent pas la surprise.
Anne Perry distille suffisamment d'indices pour mettre le lecteur sur la piste de la vérité mais la perception reste floue jusqu'à ce qu'elle ne la laisse éclater, dans les dernières pages.

Une lecture qui est aussi très intéressante intellectuellement: explorant des réalités sociologiques de l'époque victorienne ou des sentiments humains universels, Anne Perry nous livre une réflexion sans complaisance sur la nature humaine.
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Un Monk de bonne facture et toujours la vie si bien détaillé sous victoria, rapport entre les différentes couches sociales, détails du quotidien
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Janvier est glacial. Dans les rues sinistres de Saint-Giles, le sergent Evan contemple les corps ensanglantés de deux hommes. Aux premières constations, il semblerait qu'ils aient été roués de coups. le premier, mort, est un homme d'une cinquantaine d'années, le second est un jeune homme d'une vingtaine d'années qui respire encore. La qualité de leurs costumes indiquent des gens de la haute société. Que faisaient-ils en ce territoire ? C'est chez un tailleur qui reconnaît son travail, qu'Evan apprend l'identité de ces deux malheureux ; Mr. Leighton Duff et son fils Rhys.
Aucune piste oriente Evan dans son enquête et ce n'est pas Rhys Duff, seul rescapé de l'agression, qui pourrait l'aider. Il est dans l'impossibilité de témoigner et ne peut émettre que quelques sons de souffrance.
Hospitalisé à Saint-Thomas, puis retourné chez lui sur les conseils du Dr. Corriden Wade, médecin et ami de la famille, Rhys a pour infirmière Hester Latterly.
Hester, ancienne infirmière de la guerre de Crimée, a les compétence pour le soigner. Elle l'aide aussi à surmonter ses traumatismes moraux. Rhys se comporte étrangement, il ne supporte pas le contact, surtout celui de sa mère, et fuit le sommeil pour ne pas cauchemarder. Hester doit alors le rassurer et l'habituer à sa présence. Elle lui raconte ses souvenirs de Crimée, lui lit des romans et petit à petit gagne sa confiance.

William Monk, détective privé, n'a pas revu Hester depuis un certain temps, deux semaines pour être précis… Leur mésentente se base sur de ridicules malentendus et quelques vexations. Tous deux s'apprécient mais s'insupportent également. Sans travail, sans la présence réconfortante de Lady Callandra partie en voyage, Monk s'ennuie. Il réagit donc favorablement à la demande de Mrs. Hopgood qui souhaiterait l'engager. Propriétaire d'un atelier de confection dans les bas quartier de l'East-End, elle a pu constater que certaines de ses ouvrières avaient été rossées sauvagement. Dans cette affaire, on parle de viols et de sévices. Pour nourrir leurs enfants, ces jeunes femmes n'hésitent pas à se prostituer et, n'ayant pas de souteneurs, elles n'ont personne pour les protéger. de plus, chacune panse leurs plaies dans le silence et la honte, n'osant en référer à la police.
Monk, toujours atteint d'amnésie, s'aperçoit qu'il est bien connu dans ce monde de taudis du nord de la Tamise. Ce n'est pas le respect qu'il suscite, mais plus de la peur et de l'ironie. Mais qui était-il ?
Les témoignages qu'il récolte patiemment, orientent l'enquête sur des hommes fortunés qui s'amusent en imposant leur puissance, force et supériorité. Bien vite, ses pas le mèneront vers Ebury Street, là où Hester a été engagée…

William Monk, Hester Latterly et plus tard Oliver Rathbone uniront leurs intelligences pour résoudre les drames ; meurtre, agressions, viols.

Dans ce huitième tome, nous quadrillons quelques quartiers de Londres. Comme l'auteur le précise, le misérable borde les quartiers huppés. C'est en 1890 que l'on commençât à réhabiliter l'East End. William Monk arpente ces deux univers, tout aussi à l'aise dans l'un que dans l'autre.
Le sujet traité dans cette enquête raconte la condition miséreuse des femmes, obligées de se livrer à la prostitution et des abus qu'elles subissent. La justice est inéquitable, voire absente. Autre thème, celui de la domination des gens de pouvoir, par la violence, l'humiliation, les indignités. Cette oppression offense aussi bien les femmes que les hommes.
Nous retrouvons comme dans les précédents épisodes pour les enquêtes et le procès, le trio de tête Monk-Hester-Rathbone. Leurs rôles s'étoffent et donnent à l'histoire un attrait indiscutable !
Toujours séduite par cette série, je ne peux que vous la conseiller…

"Il n'hésita qu'un instant, se demandant si elle s'efforçait de se montrer courageuse, et voulait prendre sur elle d'épargner ses propres sentiments. Mais, quand il la regarda de nouveau, il sut que ce n'était pas le cas. Il y avait en elle une aptitude à comprendre qui lui donner la force de replacer ce moment douloureusement sincère dans le cadre de tous les triomphes, tous les échecs aussi, qu'ils avaient partagés.
Il s'approcha d'elle et, avec une infinie douceur, se pencha pour déposer un baiser sur sa trempe, au-dessus du sourcil – sa joue demeura contre la sienne, son souffle agitant les mèches libres de ses cheveux.
Puis il tourna les talons et s'éloigna sans un regard en arrière. Il craignait de commettre un geste irrémédiable et il ne se sentait pas encore prêt."
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Anne Perry nous plonge cette fois-ci dans deux des quartiers les plus sordides de la capitale victorienne : St Giles et Seven Dials. Cette aventure est glaçante pour ce qu'elle révèle une fois de plus de la société victorienne et en particulier de la condition féminine. Les femmes qui se prostituent ici ne sont pas des professionnelles mais des ouvrières d'un atelier de couture dont les maigres revenus ne leur permettent pas de nourrir correctement leur famille. Elles se voient donc obligées de se vendre dans la rue sans la protection d'un souteneur. Dans cette histoire, 3 hommes s'en prennent à elles de manière extrêmement choquante, les violant puis les les rouant de coups en les laissant presque pour mortes. Evidemment à l'époque, le viol d'une prostituée n'étant pas considéré comme un crime, la police n'enquête pas. C'est Monk qui va se charger de cette enquête qui va devenir pour lui une question de justice personnelle (se demandant même s'il ne faut pas aller jusqu'à la vengeance personnelle).
L'auteure démontre aussi toute l'hypocrisie de la société victorienne qui accepte de fermer les yeux sur les pratiques de la bonne société tant que les hommes ont le bon goût de ne pas se faire prendre mais qui rejette complètement les personnes qui auraient le malheur de ne pas réussir à cacher leurs travers.
Quant à nos héros, leur situation évolue un peu : de chastes baisers sont échangés et le triangle amoureux prend une géométrie de plus en plus variable.
Mais, c'est surtout le tome où l'on apprend les causes de l'inimitié entre Runcorn et Monk. La grande force d'Anne Perry est de réussir à nous faire découvrir la face très sombre de Monk, tout en nous faisant aimer encore davantage le personnage.
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Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un livre de la série William Monk et ça commençait à me manquer. Je me suis donc attaquée à ce tome là, et j'l'ai trouvé pas mal tragique (ils le sont tous d'une certaine façon) et il m'a rendu franchement triste, particulièrement la fin. Mais je vais plutôt vous parler du début. On retrouve Evan, le petit policier qui a déjà rendu service à Monk dans d'autres tomes et que j'aime bien, qui va être confronté à un meurtre horrible dans un des quartiers mal famé de Londres où la pauvreté côtoie la violence tous les jours. Il va réussir à sauver l'une des deux personnes qu'il retrouve, il s'agit de Rhys et autant dire que je l'ai adoré ce jeune. Je sais pas pourquoi, sa passion pour les livres, pour les voyages, peut-être sa souffrance, mais il m'a plu. Il a plu aussi à Esther d'ailleurs. Ça avait l'air d'un garçon très bien mais qui avait vécu une énorme souffrance dont il arrivait pas à se débarrasser le pauvre.

J'ai dévoré ce bouquin, j'ai adoré tous les passages avec Hester, peut-être un peu moins l'enquête d'Evan et celles de Monk (qui lui est engagé parce que des hommes violent et tabassent des prostitués dans un autre quartier, lui aussi mal famé), mais ça restait des très bons moments de lecture.

Ce que j'aime avec Anne Perry c'est comment elle nous dépeint la condition des femmes à cette époque (particulièrement des femmes, mais ici on fait aussi face à la misère). le livre tourne autour de viols sur des prostituées, mais la police ne veut rien faire car pour la société, des femmes qui se vendent ne récoltent que ce qu'elles méritent si elles se font violer. C'est une manière horrible de penser, d'autant plus que certaines n'ont pas le choix. CA m'a rendu furieuse vraiment de voir que personne ne leur viendrait en aide, et surtout pas la police. Monk aussi d'ailleurs a trouvé ça horrible, c'est pour ça qu'il se bat tout au long du livre (ou presque) pour faire éclater la vérité.

Bien entendu on se doute que les histoires vont vite s'entrecroisés. Pour une fois j'avais vu un peu venir ce qu'il en était (pas tout), et avait deviné quelque chose (dont un des coupables mouahaha).

En même temps on aura le droit à quelques retrouvailles de souvenirs de la part de Monk, qui déteste ce qu'il découvre sur lui-même.

Cette histoire était parfaitement horrible j'ai trouvé, elle m'a vraiment blessé, touché au plus haut point. Heureusement on trouve de la douceur dans les relations de Oliver et Hester, mais aussi dans celle de Hester et Monk (qui est ma chouchoute ne l'oublions pas). C'est très très très rare, mais le triangle ne me dérange pas, de toute façon on sait où vont les sentiments de qui, donc bon.

A la fin tout s'accélère, et les révélations n'apparaissent qu'en dernier lieu. Mais j'avais déjà tout compris à ce moment là, et j'ai un peu trouvé Hester et Monk lent sur ce point, heureusement Hester finit par ouvrir les yeux.

Et donc voilà encore un très bon Anne Perry, et comme je suis cinglée, je vais lire le prochain directement.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
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Comme toute la série des William Monk , l'histoire a du mal à se mettre route. Mais l'ensemble est plaisant à lire et bien ficelé.
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