Je dois avouer que j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, peut-être est-ce dû au fait que j'ai lu le roman en version originale (et comme je ne suis pas bilingue, il me faut plus de temps pour lire une page en anglais) mais j'ai bien failli abandonner la lecture au bout de la 40ème page.
Je n'aime pas ne pas finir un livre alors j'ai persévéré et j'ai bien fait car au fil des pages, la lecture est devenue plus fluide et plus agréable.
On retrouve ce qui fait la marque des enquêtes de William Monk : un rythme lent, une enquête minutieuse qui laisse la part aux interrogations des personnages, et bien sûr la description des procès.
Mais alors que de longueurs dans ce roman ! Et des répétitions (j'ai trop souvent eu l'impression de relire la même chose plusieurs fois) et j'ai trouvé ça lassant. Heureusement, la fin (les cinq dernières pages) sauve un peu le tout grâce à un dénouement inattendu.
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