Pensez-vous réellement que cet organe qui palpite ici ne veut pas de vous ? Vous représentez le tourment de mes jours et plus encore celui de mes nuits ! Je ne songe qu’à vous depuis des semaines, des mois, des années ! Ne ressentez-vous pas combien ma chair connaît la fébrilité au point qu’elle ne désire que le contact de la vôtre ?
Jamais encore je n'ai prononcé de tels mots ! Tu es l'unique, la lumière et le sel de ma vie, l'ange qui me guide. Tu es la vie qui rythme mon cœur, tu es l'eau qui me désaltère, l'air que je respire ! Tu es mon tout... tu es mon aimée à tout jamais !