(...) Je ressens à nouveau cette douleur dans la poitrine. La même qui m'a parcouru le corps à l'annonce de sa mort. Celle qui vous déchire les organes, lentement, pour que vous réalisez que, en revanche, vous êtes bien vivante.
Désormais, elle sait que la vie ne tient qu'à un fil, que du jour au lendemain, tout peut s'écrouler.