Malheureusement, un tome où il ne se passe absolument rien. C'est assez déconcertant surtout vu que l'on entre tout de même dans le vif du sujet depuis quelques tomes déjà, mais là, j'avoue que ma lecture n'a pas été des plus enthousiasmante… Encore un faux pas pour Karneval…
Avec du recul, je me dis que peut-être
Touya Mikanagi se sert de ce volume seize pour nous donner toutes les pièces pour résoudre le prochain puzzle qui se profile. Peut-être. Parce qu'avec un début chez les méchants, où clairement, on parle dans le vide, puis un retour de mission qui nous laisse dans le vague avec seulement un lieu à aller inspecter, Nai qui voit des choses étranges, Karoku qui décide de tout faire pour aider son protégé (rien de nouveau sous le soleil)… Je suis assez perplexe.
L'intégration de Gareki à la tour de recherche aurait pu amener un de peps et d'intérêt mais là encore, ce fut raté pour moi. Non seulement, on le voit à peine, mais en plus on nous met dans les pattes un autre personnage antipathique à souhait, condensant au possible et on nous noie sous le jargon scientifique de Circus. le retour sur le vaisseau deux, si peu de temps après donne en plus une impression de retour en arrière.
Complètement paumée, assez dubitative devant tout cela, je ne sais pas trop quoi en dire. Et je ne sais pas si la dernière page où une bombe (métaphoriquement parlant) est lancée est quelque chose de positif. Certes cela appâte le lecteur mais c'est bien cela le problème. C'est un peu comme si cette dernière page se devait de rattraper le reste. le niveau en dents de scie commence vraiment à m'inquiéter.