Les duchesses, tome 6 : Le duc de Villiers

Ce 6e tome de la série "Les duchesses" est celui que j'ai préféré. Il faut dire que le duc De Villiers est un personnage que j'aime beaucoup depuis le début de la série et j'avais bien hâte de connaître davantage son histoire. Même s'il demeure mystérieux et peu approfondi (on aurait facilement pu développer davantage son histoire et sa psychologie), il est un personnage savoureux qu'il est plaisant de voir évoluer. Je crois que l'autrice a trouvé un personnage à la hauteur pour contrebalancer le fort caractère du duc avec Eleanor, fille de duc qui ne ménage pas ses mots et dont la rationalité et l'absence apparent d'émotions fortes troublent le duc De Villiers plus qu'il ne veut l'admettre. J'ai eu beaucoup de plaisir à les voir s'empêtrer dans des situations à la fois réalistes et loufoques, comme sait bien le faire Eloisa James. L'histoire est intéressante du début à la fin, même si on voit venir le dénouement de loin, les trépignantes péripéties pour y parvenir tiennent le lecteur (ou plutôt la lectrice) en haleine.

Ayant déjà rencontré le duc De Villiers dans la romance Lady Harriet et ce tome étant postérieur à cette romance j'ai particulièrement apprécié le découvrir plus avant.
Ayant pris la série des duchesses un peu au mileu je ne sais pas si je retrounerai en arrière découvrir les péripéties de Roberta et Gemma mais par contre lady Isidore me paraît fortement intéressante après celui-ci.
Leopold me plaisait déjà beaucoup juste en personnage secondaire mais le suivre plus avant dans cette romance qui lui est consacrée même si nous la vivons plutôt du côté Eleanor. C'est encore une jeune duchesse de caractère qui donne du piquant au récit et aux dialogues avec le duc. Ni frigide ni frivole elle a de la repartie et j'avoue avoir eu souvent des bons fous rires.
Un très bon moment de lecture détente

Ce sixième tome des Duchesses m'a tout de suite attirée: enfin un tome consacré au sulfureux duc De Villiers !
Celui-ci est devenu responsable après être passé à deux doigts de la mort et décide de retrouver et d'élever six de ses cinq enfants illégitimes. Relisez bien cette phrase, je n'ai pas fait d'erreurs : il faut bien ménager un peu de suspense dans un genre littéraire qui n'en a aucun !
Il cesse donc de soupirer après la femme de son meilleur ami - sa partenaire préférée aux échecs- et part à la chasse à l'épouse bien née (il est duc, bon sang) capable de lui fournir un héritier légitime tout en élevant les six autres enfants sans sourciller. Villiers se veut l'équivalent De Valmont dans cette série: il en est loin mais demeure néanmoins sympathique.
Choderlos de Laclos peut dormir sur ses deux oreilles, on est très loin de son chef d'oeuvre mais Eloisa James renouvelle un genre sans mièvrerie : les romances "historiques" où les héroïnes sont extrêmement modernes - elles couchent TOUTES avant le mariage!!! Jane Austen se retournerait dans sa tombe- et très amusantes. Vous n'apprendrez pas grand-chose sur la sociologie britannique à la fin du XVIII° ou du début du XIX° mais vous passerez un bon moment.

Et le challenge multi-défis 2016 continue et pour le dernier tome paru de la série « Les Duchesses » j'ai choisi l'item : « Un livre dont l'action se déroule dans le passé ». En effet, les six volumes sont clairement une description bien documentée de la haute société anglaise de la fin du XVIIIème siècle.
L'auteure n'a pas boudé son plaisir ni le nôtre en donnant à chaque volume le rythme de son personnage principal, ainsi certains récits sont plus rapides et tumultueux que d'autres. de même elle a voulu nous présenter à chaque fois un point d'histoire qui s'intégrait bien dans son roman et le rendait de ce fait bien plus consistant. Ainsi, la description très précise des vêtements, parfois très haut en couleurs ; les débats politiques concernant les quartiers pauvres de Londres ou encore de la nécessité de trouver une alternative aux pontons-prisons ; des indications sur les avancées techniques et médicales de cette fin de siècle ; des jeux à la mode dans la haute société comme les échecs et, en cercle privé, le poker mais aussi et surtout, une fine analyse de la psychologie de la noblesse.
Ce dernier point est particulièrement travaillé par l'auteure dans ce volume. L'éducation des enfants légitimes et illégitimes et leurs places dans la société, la gestion des orphelinats, la maladie mentale et la relation maîtres-serviteurs tissent la toile de cette toute belle histoire où la violence des sentiments cache une immense tendresse.
J'aime beaucoup la plume moderne d'Eloïsa James qui sans jamais devenir vraiment grivoise appelle un chat, un chat. Avec une écriture riche et variée elle nous transmet son amour des belles lettres et des bons mots sans oublier celui des énigmes et des joutes littéraires parfois piquantes, souvent marrantes qui pimentent le roman.
Voilà, la série semble finie et pourtant, un tome 7 pointe le bout de son nez et paraîtra en mars sous le titre « Trois semaines avec Lady X », je me réjouis déjà ;-)

Oui je sais, ce sixième tome est sorti il y a un siècle (décembre en fait) et j'ai donc attendu 4 mois pour le lire alors que j'attendais l'histoire de mon petit duc De Villiers avec impatience. Avec tellement d'impatience, d'espoirs (et le cinquième tome de cette série, Jemma de Beaumont, m'ayant un peu déçue) que j'avais la trouille qu'il me déçoive. Mais bon, le tome 7 vient juste de paraître (Trois semaines avec Lady X)(septième tome de la série des Duchesses mais en fait premier d'une nouvelle série inclue dedans) et il m'a l'air plus que génial. Je me suis donc enfin décidée à le sortir de ma PAL. Verdict: j'ai envie de me donner des claques d'avoir attendu si longtemps pour le lire ! C'est pour le moment le meilleur de la série je pense bien.

Nous retrouvons donc Villiers, remis définitivement de ses blessures, conscient que finalement Jemma n'est absolument pas la femme de sa vie et bien décidé à s'occuper de ses six enfants illégitimes ! Pour cela, il doit leur trouver une mère, c'est à dire une femme pour lui, et si possible une femme de haut rang, une duchesse, qui permettra à ses enfants naturels d'être acceptés par la bonne société. Seules deux femmes répondent à ses critères. Lady Eleanor qui a juré qu'elle n'épouserait qu'un duc après qu'elle eut le coeur brisé, une jeune femme aux réparties cinglantes mais qui n'attache que peu d'importance à son apparence. Lady Lisette qui semble parfaite en apparence, extrêmement jolie, douce mais qui si vous voulez mon avis, est bien siphonnée du ciboulot (ce que tout le monde va bien finir par remarquer, le fils de Villiers le premier). (suite sur le blog)


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Comme je l'indiquais dans ma chronique du tome 5 Jemma de Beaumont, j'avais trés hâte de lire ce tome ci.

La fin du 5 laissant présager de sombres heures pour ce pauvre De Villiers... Mais beaucoup d'amusement pour nous.

Nous l'avions laissé avec son fils aîné et le retrouvons avec un deuxième fils et une première fille à la recherche d'une paire de jumelles.... mais surtout d'une mère pour ses enfants.

Et évidemment il lui faut une duchesse du même acabit que Jemma...

Mais son choix est limité puisqu'il n'y a que deux duchesses (de son âge) de disponibles.

Le duc a énormément changé depuis le tome précédent, il est prêt à faire énormément de compromis pour ses enfants (surtout son fils aîné) et ni lui ni nous ne nous y attendions.

Par contre pas de compromis pour la duchesse, il a des critères et compte s'y tenir.

Il a donc le choix entre Eleanor et Lisette, le Coeur et la Raison...

Eleanor a beaucoup souffert d'un premier amour pour lequel elle s'est déshonorée (heureusement pour elle personne n'est au courant de ce détail) et à jurer d'épouser un Duc pour se venger de celui qui l'a abandonnée pour un mariage de raison (soit disant), mais cela fait déjà 7 ans et petit à petit elle à mûri et décide donc de revoir sa garde robe et sa position.

Lisette, elle tout le monde la dit fofolle, mais au vu de ses réactions, ils sont tous loin du compte... de prime abord, vu qu'elle s'occupe des orphelines du village d'à coté et qu'elle est duchesse elle parait être le choix idéal pour De Villiers.

Mais ses enfants ne sont pas d'accord avec son choix et vont rapidement le lui faire comprendre à leur façon.
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j'adore ce tome ,
je n'aurais jamais imaginé que le duc de villiers soit un grand romantique , comme il est décrit dans le roman ce qui m'a fait decouvrir une nouvelle facette de ce personne si mysterieux du tome 1, tout le long du roman je me disait que ce n'etait pas possible qu'il finisse avec lisette et je suis bien contente que sa ne soit pas le cas

Enfin, on découvre d'avantage le Duc de Villiers !

Décidément, j'enchaîne les coups de coeur sur cette série. J'ai adoré redécouvrir Villiers dans ce tome. J'ai beaucoup ri grâce à lui et ses enfants. J'ai frétillé à chaque échange de piques entre lui et Eleanor. J'ai été agacé par ses hésitations et complètement prise par son histoire au final. Un très très bon tome et j'aimerais bien revoir sa famille dans une prochaine série.
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Après les duchesses, place au duc De Villiers qui nous accompagne depuis le début. Personnage haut en couleurs, il me tardait de lire son aventure. Et il ne m'a pas déçu!

J'adore son humour et sa relation avec Eleanor. C'est un florilège de petites piques entre les deux. Dès le début, on sait que c'est une évidence entre les deux. Il n'y a qu'eux pour ne pas le voir.

C'est un très bon tome que j'ai dévoré. Il doit s'agir de mon tome préféré de la saga. le seul point négatif que je peux lui trouver c'est le personnage un peu trop caricatural de Lisette. Je n'ai pas adhéré à son personnage. Par moment je l'ai même trouvé méchante. Je ne vois pas l'intérêt d'en faire un personnage aussi extrême alors qu'on sait qu'elle ne finira jamais avec Villiers.

A part ce détail, c'est un très bon moment de lecture. Et cela conclut parfaitement cette première partie de saga!
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