Mai 2005, Casimir Pozuelo, un paisible et brave retraité, échappe miraculeusement à un attentat perpétré dans le petit Bayonne. Sa petite-fille tente de tirer cette affaire au clair. Au fil de ses découvertes se dévoilent les années sombres d'une guerre dont on ne dit pas le nom entre les indépendantistes basques et le Groupe Antiterroriste de Libération.
De cette matière explosive, l'auteur réalise un polar régional de piètre qualité. Les personnages sont réduits à des poncifs, les situations téléphonées empêchent tout suspens. Je n'ose à peine évoquer les clichés machistes à propos des femmes. Un bien grand gâchis à propos d'un sujet qui ne méritait pas.
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