Je n'ai pas réussi à accrocher à cette romance, et ce, dès le départ. le prologue où on explique la mort du frère de l'héroïne est vraiment confuse, et je n'ai pas vraiment vu l'importance qu'elle pouvait avoir dans la suite de la relation des deux héros. La suite manque de passion pour une fois, même si les deux héros partent à l'aventure en France. Une lecture qui s'oublie facilement.
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L'histoire met du temps à démarrer. Mais une fois, les protagonistes à Paris, l'histoire décolle. Par sa naïveté, Gwen est très drôle et Alex qui lutte pour refouler ses sentiments est attendrissant. le mystère qu'il cherche à élucider est cocasse aussi et les mène dans de ces aventures...
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Ce n'était pas immodeste de reconnaître qu'elle était passablement jolie, raisonnablement charmante, et unanimement appréciée. De plus, elle avait toujours fait tout ce qu'il fallait, obéissant aux règles, souriant aux insultes, séduisant les esprits chagrins qui lui reprochaient ses origines modestes. Elle avait renoncé à faire de la bicyclette parce qu'il fallait porter une jupe fendue. Elle s'était interdit de chanter en public, et s'était exclue de tous les jeux de société.
Votre générosité à l'égard des orphelins est légendaire ; vous êtes l'amie de tous ceux qui ont la chance de vous connaître. Toute la ville fait l'éloge de votre chasteté, de votre rectitude et de votre bonne humeur inébranlable. Les chroniqueurs les plus méchants ne peuvent rien trouver de mal à dire de vous.
Et plus jamais elle ne laisserait un homme qu'elle n'aimait pas l'embrasser. Il devait y avoir quelque chose d'intéressant dans le baiser, sinon pourquoi en ferait-on une telle histoire ? Eh bien, à elle de le découvrir ! Puisqu'elle renonçait à la gentillesse, pourquoi ne pas opter pour le dévergondage ?
Une jeune fille richement dotée devait fréquenter ses pairs -
l'élite de la société. Et, comprenant qu'une fille élevée à Leeds, avec un accent du Nord et des manières un peu rurales, n'aurait aucun succès dans ce milieu huppé, ils l'avaient envoyée en pension.
Elle avait beau s'être enfouie sous les couvertures, un oreiller sur la figure, cela ne suffisait pas. Ce qu'il lui aurait fallu, c'était une coquille. Dans laquelle elle aurait pu se réfugier à tout moment. Quelle chance avaient les tortues, finalement...