Citations de Yoko Kamio (97)
Ne vous moquez pas de lui ! Êtes-vous donc tellement forts vous-même pour vous permettre de ricaner autant des échecs des autres ?
- Mais... je... J'ai dit "Bye-Bye" pour la première fois depuis des années !
- Ben tu pourras le redire demain et après-demain...
- C'est vrai ? Et dans un mois, et dans un an ?
- C'est malheureux d'être affamée d'affection à ce point...
Tant que tu te contenteras de m'imiter, tu ne grandiras jamais, même si tu y consacres plein de temps.
- Vous vous êtes raccommodées ta mère et toi ?
- Hein ? Mais je sais pas coudre, moi !
- Tu es gentil...
- Gentil ? C'est pas très agréable de se faire traiter de "gentil". Je préfèrerais que tu dises que je suis attirant.
- Tu es vraiment loin d'être attirant... mais tu es gentil...
- Cette fille qu'est-ce qu'elle peut m'énerver !
Le temps que nous passons ici n'a rien d'évident. Notre rencontre même relève du miracle. Même si je n'ai pas envie d'y penser, elle sera aussi brève qu'un tour de manège.
Si on se met à frapper tous ceux qui nous énervent, l’humanité est foutue !
On n’est jamais sûr d’avoir fait le bon choix. C’est vrai. Domyoji a dit aujourd’hui quelque chose dont je veux me souvenir. Il faut vivre au présent pour ne pas avoir de regrets.
- Bon, je prépare le thé, alors alignez-vous par ici.
- Je pourrais avoir du lait ?
- Hein ?
- Je veux mettre du lait dans mon thé matcha.
- T’as l’intention d’ajouter un corps étranger à mon art ??
- Enfin, tu redeviens toi-même. C’est ça le pouvoir de Tsukushi Makino. Ne fais pas attention aux autres, et reste comme tu es.
En fait, la personne que je déteste le plus, c’est moi… Moi qui n’ai pas le courage d’adresser la parole à Kimoto, moi qui souris hypocritement tous les jours… J’attends passivement que le temps s’écoule.
Même pas moyen de se disputer en paix...
L'amour... dans la situation bizarre où je me trouve, ce sentiment me paraît loin, inaccessible. C'est un peu comme lorsque l'on regarde les reflets de lumière sur l'eau... Leur lumière est aveuglante...
J’avais le cœur serré et mal dans la poitrine… il était impossible d’empêcher toutes ces émotions de déborder…
- Hé, tu n’as pas quelque chose à me dire ?
- Hein ? Idiot !
- … Non autre chose.
- Poulpe !
- … Tu me le paieras !
Il faut parfois endosser le rôle du méchant.
Ici, finalement, peu importe nos problèmes… Il n’y a pas d’horloge ni d’heure, alors on vit dans l’instant présent.
- Ah, c’est bizarre !
- Quoi ?!
- Elle a des trous de nez.
- Qui ?
- La statue de la liberté ! Elle peut donc respirer.
- C’est toi qui es bizarre !
Pour la première fois, je te plains d’avoir été élevé par une personne comme elle.
L'argent ne fait vraiment pas le bonheur.