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Citations de Stan Nicholls (96)


— Dynahla m’a dit que c’était toujours le milieu de la journée ici, expliqua Stryke.
— Il ne fait jamais nuit ? lança Coilla par-dessus son épaule.
— Je le lui ai demandé. Il m’a répondu qu’il préférerait ne pas être là si ça arrivait.
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— C’est incroyable, s’exclama Wheam en désignant le curieux désert gris d’un large geste. J’ai hâte d’en parler dans ma ballade épique.
— Tu bosses toujours là-dessus, hein ? grimaça Stryke.
— Chaque fois que je peux. Essentiellement dans ma tête, dit Wheam en pointant un doigt sur sa tempe. J’ai composé encore quelques couplets aujourd’hui. (Il s’empara de son luth.) Vous aimeriez peut-être… ?
— Non, merci. On a déjà assez d’ennuis comme ça.
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— Par les dieux, Chillder, c’est à ça que nous en sommes réduits ? À réfléchir comme de foutus politiciens ?
— Que ça te plaise ou non, c’est ce que nous sommes désormais. Nous pouvons juste espérer être de bons politiciens, du genre qui font passer les intérêts de la nation avant les leurs.
— Je me demande s’ils ne commencent pas tous ainsi : avec des bonnes intentions qui se trouvent peu à peu corrompues par la nécessité et le pouvoir.
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— Tu parles d’un humain. Généralement, quand il s’agit de chier sur les autres, ils sont du bon côté du trou de balle.
Jup éclata de rire.
— Désolé. (Il tenta de se ressaisir.) Mais… du bon côté du trou de balle ? Cette fois, Haskeer, tu t’es surpassé.
Il recommença à s’esclaffer, et plusieurs des orcs se joignirent à lui.
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— On a éliminé notre lot d’ennemis, l’informa Haskeer sans ambages.
— La palme revient à Wheam, déclara Coilla. Il a fait sa première victime. Stryke eut l’air impressionné.
— Bien joué. Tu verras, ça te viendra naturellement maintenant.
Wheam marmonna des paroles où se dinstin­guaient les mots « luth » et « bâtard ».
— Quoi ?
— Il a cassé mon luth, bredouilla Wheam. L’ordure.
Stryke jeta un regard perplexe à Coilla.
— Un humain a cassé son machin, expliqua-t-elle. Ça l’a mis dans une rage folle.
— On t’en trouvera un autre, promit Stryke.
— Non, hors de question, s’exclama Haskeer, alarmé par ce qu’il venait d’entendre.
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Même une bande de héros légendaires ne peut pas faire la révolution sans le soutien d’une armée
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Une veine se mit à palpiter sur le front du superviseur.
— C’est de l’insubordination flagrante ! (Il se tourna de nouveau vers Pepperdyne.) N’avez-vous aucun contrôle sur cette créature ?
Pepperdyne haussa les épaules.
— On dirait qu’elle n’a pas envie de nettoyer vos latrines.
— Je n’arrive pas à croire que vous preniez le parti de cet animal. Êtes-vous ivre ?
— J’aimerais bien.
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La plage se compose de grains de sable trop nombreux pour qu'on les compte. Pourtant, le nombre de grains de sable de toutes les plages de toutes les îles n'est rien comparé au nombre de monde qui existent dans l'univers.
Le vide qui les sépare est si immense et si terrible que nul ne peut l'imaginer.
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- Vivre dans la peur, ce n'est pas vivre.
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- (...) Nous sommes tous salement en rogne, Jode.
- Comment pouvais-je le deviner ?
- Que veux-tu dire ?
- Vous êtes des Orcs. J'ai l'impression que vous êtes toujours en rogne contre une chose ou l'autre.
Malgré elle, Coilla sourit.
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Lorsque la créature se pencha sur elle, elle plongea ses yeux dans les siens et y vit alors plus que de l'agressivité pure. La bestialité était bien là, mais atténuée par ce qu'elle devait bien considérer comme une forme d'empathie. Et peut-être même une touche de noblesse.
C'était là une pensée fantastique et la dernière qu'elle n'aurait jamais.
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—Nous détenons l’artefact en question. Et vous n’êtes pas les premiers à venir le chercher ici.
— Vous avez eu d’autres visiteurs ?
— Des multitudes, au fil des ans.
— Puis-je vous demander qui ?
— Oh, il y avait un peu de tout. Des érudits, des soldats de fortune, des sorciers, des rêveurs…
— Que sont-ils devenus ?
— Nous les avons tués.
Les orcs se raidirent.
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La main froide de la peur caressa son échine. Cet objet antique venait de tuer son propre protecteur. Peut-être était-ce pour se défendre contre sa lame. peut-être avait-il été conçu pour que tout type de contact avec lui soit fatal. Dans un cas comme dans l'autre, le malheureux Kreid avait été bien mal récompensé pour tout ses siècles de dévouement
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Sans répit, les fidèles d'Hobrow continuaient à affluer. Grimaçant sous sa barbe, le nain les tua l'un après l'autre.
Haskeer fit pleuvoir un déluge de coups meurtriers sur ses deux premiers adversaires. mais le second lui arracha son épée avant de s'écrouler. il eut donc les mains vides pour affronter un nouveau guerrier armé d'une pique.
Ils se disputèrent l'arme, les jointures blanchies . Bandant ses muscles , Haskeer enfonça le manche de la pique dans le ventre de l'humain, qui lâcha prise. Puis il lui plongea la pointe barbelée dans les entrailles.
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Regardez-moi ! Regardez l'orc ! Je lis dans vos yeux la peur et la haine. Vous me voyez comme un monstre, un prédateur des ténèbres, un démon dont vous parlez pour effrayer vos enfants. Une créature à traquer et à abattre comme une bête. Le moment est venu de prêter l'oreille à la bête, et de savoir qu'elle vit aussi en vous. Vous me craignez, mais je mérite votre respect. Maras-Dantia était notre royaume, celui des nains, des elfes et des autres races aînées, longtemps avant que votre espèce vienne le saccager. Longtemps avant que vous dévoriez notre magie et violiez l'âme de notre monde. Ecoutez mon histoire. Regardez couler mon sang et remerciez les dieux que ce soit moi et pas vous qui doive manier l'épée. Remerciez les orcs nés pour se battre et destinés à ramener la paix !
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Tu es le premier humain auquel nous avons jamais pu confier cette tâche .Le premier qui soit assez maléfique et dépravé pour activer la magie du grimoire en ce monde et ouvrir le portail vers ce monde.
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Hobrow promena de nouveau son regard d’acier sur les nains. Jup remarqua qu’ils détournaient la tête pour l’éviter, et il les imita pour ne pas attirer l’attention.
L’humain ôta son chapeau, révélant une tignasse de cheveux noirs striés de mèches argentées.
— À présent, nous allons prier pour le bon déroulement de notre labeur.
Jup regarda les autres ouvriers. Ceux qui portaient un chapeau l’enlevèrent également. Suivant leur exemple et celui d’Hobrow, le Renard baissa la tête. Il se sentait un peu ridicule et ne comprenait pas en quoi il était nécessaire d’agir ainsi. Quand il voulait s’adresser à ses propres dieux, il ne faisait pas autant de simagrées. Les dieux ne jugeaient certainement pas les requêtes de leurs fidèles en fonction du chapeau qu’ils portaient !
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— La connaissance est neutre. Ni bonne ni mauvaise en soi. Elle sert la lumière ou les ténèbres en fonction de celui qui la manipule.
— Et alors ?
— Si Jennesta s’en empare, vous pouvez être certains qu’elle n’en fera rien de bien.
— Veux-tu dire que nous ne devrions pas lui rapporter le cylindre ? demanda Coilla.
Le gremlin ne répondit pas.
— C’est ça ?
— J’ai vécu très longtemps et vu beaucoup de choses. Je mourrais en paix si je savais que mon vœu le plus cher a une chance de se réaliser.
— Et quel est ce vœu ?
— Ne le savez-vous pas, au fond de vous-mêmes ? Je rêve que Maras-Dantia nous soit restituée. Que les choses redeviennent comme avant ! Le pouvoir de cet artefact est notre seule chance de les ramener à la normale. Mais il s’agit seulement du premier pas d’un long voyage.
La passion du gremlin plongea les orcs dans un silence pensif.
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i l'endroit où vivent les dirigeants d'un peuple exprime la considération que ceux-ci portent à leurs sujets, la forteresse de Taress devait être considérée comme particulièrement éloquente.
Ses portes étaient verrouillées, ses accès étroitement surveillés. des archers arpentaient ses remparts. des sentinelles montaient la garde en haut de ses tours, et une garnison se trouvait en permanence dans son enceinte impénétrable.
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-Il faut être très attentif au détail ,général.C'est comme ça que l'on fait fonctionner un royaume.
Avide de regagner ses faveurs ,Mersadion susurra:
-C'est le secret de votre succès ,ma dame.
-Non ,général.Le secret de mon succès ,c'est la brutalité.
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