L'explosion avait littéralement déchiqueté le mollet de Grootwald, laissant ses os à nu. Entre le genou et la cheville, la chair s'était envolée. La cuisses et le pied, intacts, n'étaient plusreliés que par deux os d'un jaune graisseux auxquels adhéraient à peine quelques filaments de muscle.
Je dus me mordre la lèvre pour ne pas m'évanouir.