Liv Stone

— Si tu veux être puissante, sois puissante ! Si tu veux être courageuse, sois courageuse ! Si tu veux être forte, sois forte !

" - Tu m’ensorcelles, mon Agápê.
- Agápê ?
- Ma femme tant désirée. "

- Pardon, je voulais te faire plaisir.
Il pose sa main sur ma joue et me dévoile une émotion imprévisible : il semble soudainement ébranlé.
- Ella, ma vie de tous les jours auprès de toi me fait plaisir. Me réveiller près de toi, te retrouver dans ton antre, t'entraîner dans mon lit... Mais les anniversaires me rappelleront toujours que le temps cherche à t'arracher à moi.

J'attendrai que tu sois prête. Mais ça ne signifie pas qu'il ne se passera jamais rien. Si les attentes des dieux et des sorcières m'importent peu, tu es mon épouse, et t'initier fait partie de mes privilèges d'époux.

Tu es ma femme, ordonne et j'exécuterai.

L’amour, ce n’est pas qu’une question de force et de courage, même s’il en faut. C’est aussi reconnaître ses faiblesses.

Un sourire est un passe-partout, mais il n’est pas toujours sincère.

- Ce ne serait pas si étonnant pour un Olympien, ajouté-je. Ce sont tous des voleurs de culotte.
Il se met à bouillir d’agacement.
- Mais tu n’en portes même pas !
- Ben non ! Sinon tu les volerais !

Je ne t'ai pas encore dit que tu vaux tout les risques ?

- "Tout le monde craint la Terreur en oubliant qu'elle ne dure qu'un instant…", entame Deimos.

- "Personne ne songe à la Peur qui s'insinue en chacun, ruinant les os des guerriers les plus braves", terminé-je.

- Mais… je n’ai pas de passeport, remarqué-je en blêmissant.
- Là où on va, on n’a pas besoin de passeport.
Il me prend contre lui et nous fait nous éclipser.

-Quoi?
-Vous avez une déesse de la gentillesse ? C'est quand la dernière fois que vous l'avez priée ?

❝ Une vague de chagrin et d'énergie déboule en moi. Je suis ce pauvre poisson pris dans un filet, sûr de sa fin, mais qui ne peut pas s'empêcher de se débattre. ❞

"L'amour s'est reconnaître ses faiblesses "

Parce que j'ai traversé toutes les nuées de ton pouvoir pour t'atteindre.

il déteste le fromage, ce n'est pas une personne de confiance.

- On va nager et tenter d’attraper du poisson, décide Héphaïstos.
- Nager avec une chaîne ? marmonné-je. C’est nul, comme idée.
- Je la porterai, mais tu devras plonger avec moi.
- Tu vas juste me tirer vers le fond.
- Je croyais que tu étais une aventurière de l’extrême, capable de survivre des jours avec un seul cookie ? me provoque-t-il à nouveau avec mon exploit choco-noisette.

"Je ne suis pas intact”, m’avait-il dit. Il est pourtant l’être le plus entier que j’aie jamais rencontré.

- Si tu veux, je me déshabille à mon tour, on sera à égalité.
Elle veut me hurler dessus – ça se voit à l’air qu’elle aspire et à son index autoritaire braqué sur moi – mais tout se bloque et elle se fige.
- Quoi ? s’étrangle-t-elle.
Je commence à déboutonner ma veste pour la retirer. Si elle veut du Hermès en action, elle peut l’avoir. Je suis passé maître dans l’art de la provocation.
- Je vais jusqu’où ? poursuis-je en attaquant mon gilet sans manches.
- Mais arrête ! Espèce d’exhibitionniste !
- Les humains me sculptent à poil depuis des siècles, je n’ai aucun problème avec ça.

(extrait du chapitre bonus du point de vue d'Hermès)

- Je ne veux pas que ma fiancé câline n'importe qui.
- Je ne câline pas n'importe qui, le rembarré-je.
Juste mes deux soeurs, ma mère, tante Zelda parfois, mes amis sur le campus, Madeline et Rachel surtout, les nymphes des bois dès que je les croise, les animaux qui me semblent gentils et quelques arbres auxquels je tiens. OK, OK. Je câline pas mal de monde. Mais là n'est pas la question ! Je secoue la tête pour me reprendre.
- Vous n'avez rien à m'interdire, quoi qu'il en soit.