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Citations de Judith McNaught (110)


Des deux mains, il caressa ses seins qui durcirent immédiatement sous l'effet du désir. Sa bouche ardente s'empara fiévreusement de la sienne puis il la souleva dans ses bras. Une fois dans le lit, Sybil oublia qu'il n'avait pas répondu à sa question.
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Toutes les femmes aiment les bijoux mais vous êtes la seule qui ne s'en cache pas. Allons, venez ici et montrez-moi combien vous êtes heureuse de cette nouvelle babiole.
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Jason est le meilleur des hommes. Il n'a pas eu une vie facile et pourtant il a tenu bon grâce à une prodigieuse force de caractère. C'est un être très sensible, mais il montre rarement ses sentiments. A cause de cette force peu commune, il rencontre rarement d'opposition, surtout chez les femmes. C'est la raison pour laquelle il adopte de temps en temps une attitude, hem... de dictateur.
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« Regardez-la, elle est la vie, le courage et la beauté. Elle sait se battre pour un idéal, se défendre si on l'attaque et pardonner si on l'a offensée. » Je sais que vous avez pardonné plusieurs fois à Jason pour tout ce qu'il vous a fait endurer.
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Quand je vous regarde, je reprends confiance dans le monde qui nous entoure. Malgré tout ce que vous avez souffert dernièrement, vous êtes encore capable de remarquer la fatigue d'un vieux monsieur.
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Je me sens parfois encore plus vieux que vous ne croyez, plaisanta-t-il sans grande conviction. Comme ce soir, par exemple. Mais vous m'avez redonné courage. Me permettez-vous de vous dire quelque chose ?
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Devenu adulte, il avait épousé Melissa en s'imaginant naïvement qu'une femme aussi belle saurait le combler. Ah, elle s'était bien moquée de lui ! Cette catin n'avait aimé que l'argent, les bijoux et le pouvoir. Alors il s'était juré de ne plus jamais se laisser prendre. Mais aujourd'hui, Victoria Seaton était entrée dans sa vie...
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Tout dans son visage était beau, le moindre détail confirmait la perfection de l'ensemble. Mais sa beauté ne s'arrêtait pas là : elle se révélait jusque dans son rire cristallin, dans chacun de ses mouvements gracieux. La jeune fille faisait penser à une pierre précieuse. Une pierre précieuse à laquelle il ne manquait qu'un écrin: il lui fallait des vêtements élégants pour souligner ce corps parfait et ce visage exquis ; une belle demeure où elle pourrait régner en souveraine; un mari pour adoucir ce tempérament impulsif, et un bébé à choyer...
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Elle était si fraîche, si vive, si spontanée. Malgré sa jeunesse, il émanait d'elle une séduction naturelle qui provenait de sa vivacité d'esprit, de son esprit de repartie et de son altruisme.
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Quand un homme sait qu'une femme a peur de quelque chose, il s'en sert pour une raison ou pour une autre. Prenez mon frère Carlton, quand il s'est rendu compte que j'avais horreur des serpents, il en a glissé un dans le tiroir de ma commode. Et avant même que je me sois remise de ma frayeur, Abbot, mon autre frère, en a mis dans mes souliers de bal... Victoria réprima un frisson.
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Je ne sais pas ce que les femmes lui trouvent ! Elles sont toutes à ses pieds. Il est vrai qu'il est riche comme Crésus et qu'il sera un jour duc d'Atherton... Et il est particulièrement bel homme, sans aucun doute.
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Ce Jason était odieux, incompréhensible. Elle avait essayé de devenir son amie et n'y avait rien gagné... que ce baiser. Il lui semblait que tout était différent en Angleterre, que de tels baisers n'avaient aucune valeur ici et qu'elle n'avait donc nulle raison de se fâcher ou de se sentir fautive. Et pourtant, elle ressentait exactement le contraire. Soudain Andrew lui manqua terriblement et la honte l'envahit en songeant à la façon dont elle avait répondu à l'étreinte de Jason.
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Quel homme sain d'esprit aurait pu embrasser passionnément une femme, lui faire ouvertement la cour et la minute d'après se transformer en être froid et hostile? Ah non, il n'avait rien d'un agneau, il était plutôt dangereux et imprévisible comme une panthère !
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Les femmes subissaient peut-être ce genre de baisers sans se troubler outre mesure et elle risquait de passer pour une sotte si elle en faisait tout un plat. Oui, elle feindrait de n'y voir aucun mal et Jason classerait l'affaire. Ce n'était qu'un petit baiser insignifiant, en tout cas il le considérait visiblement comme tel.
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Il l'embrassa sauvagement dans l'intention avouée de la punir et de l'humilier. Victoria se débattit en silence. Prisonnière de ses bras, elle essayait désespérément de briser son étau et de se soustraire à ses lèvres. Mais cela ne fit que renforcer la rage qui l'animait.
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Affreusement gênée, Victoria se mordit les lèvres, Elle se souvenait du jour où elle était rentrée bien après la tombée de la nuit pour s'apercevoir que son père avait organisé une battue dans la forêt pour la retrouver. Passé le soulagement et la joie de la revoir saine et sauve, il lui avait administré une correction qui l'avait empêchée de s'asseoir pendant deux jours.
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En dépit de son élégance et de sa nonchalance désinvolte, il émanait de lui une extraordinaire puissance. Ce je-ne-sais-quoi de primitif donnait à Victoria l'impression désagréable de se trouver en face d'un gentleman élégant sous lequel se cachait un être farouche, presque sauvage.
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Pour avoir un héritier, il était obligé de se remarier. Mais après les libertinages de sa jeunesse, il avait perdu le goût des ébats sexuels. Il songea avec une ironiedésabusée à toutes ses jolies maîtresses d'antan, à la ravissante danseuse française avec laquelle il avait eu une liaison et qui lui avait offert un bâtard...
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Il la connaissait à peine et cela faisait belle lurette qu'il ne croyait plus au coup de foudre. Il avait même douté que l'amour pût exister réellement entre deux êtres. Il y croyait à présent puisqu'il voulait de toutes ses forces que cette jeune fille ravissante, intelligente, l'aimât lui et lui seul. Pour la première fois de sa vie, il rencontrait un être unique, pur et délicat. Il n'avait d'autre désir que de l'épouser, la chérir, la protéger.
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Elle était si belle, si pure et si fraîche que la carapace de cynisme qui protégeait Charles depuis des .innées fondit comme neige au soleil et qu'il prit brutalement conscience de la vanité de sa vie, de sa solitude. Comme dans un rêve, il effleura sa joue veloutée avec une tendresse infinie.
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