Il ne la touchait pas comme un mari, mais comme un... domestique. L'estomac de la jeune femme se noua.
Ses mains fermes la firent asseoir. Sans un mot ni un regard, il commença à lui essuyer les pieds.
- Clayton, murmura-t-elle d'une voix brisée. Il ne faut pas...
- Si jamais l'idée vous effleure de me quitter, quelle qu'en soit la raison, je vous ferai enfermer dans votre chambre, dit-il sans relever la tête.
- Et vous resterez enfermé avec moi ? demanda-t-elle d'une voix tremblante.
Il leva doucement le pied gracieux et le posa sur sa joue puis l'embrassa.
- Oui, murmura-t-il.