Citations de Joseph Delaney (604)
"Personne ne sait avec certitude ce qui se passe après la mort. Si cela était, il n'y aurait pas tant de religions différente, prétendant chacune détenir la vérité. A mon avis, peu importe la voie que tu choisis. Tant que tu mènes une vie honnête et que tu respectes la foi des autres, tu ne peux commettre de graves erreurs."
"Les vieilles habitudes sont longues à mourir."
Tout le monde ment un jour ou l'autre. Ne jamais mentir, ce n'est pas humain.
"[...] sans les leçons que nous donne l'Histoire, nous serions condamnés à reproduire les erreurs de ceux qui nous ont précédés."
"[...] aucun d'entre nous n'est totalement bon ni totalement mauvais. Les uns et les autres, nous nous situons quelque part entre les deux."
Le monde était ainsi fait : c'était une loterie.
"L'Histoire se répète toujours, ainsi va le monde."
"Les leçons que nous tirons de l'Histoire sont importantes, elles nous empêchent de commettre à nouveau les mêmes erreurs."
"Certaines choses doivent s'accomplir ; il faut parfois tomber avant de se relever et devenir celui que l'on est en vérité."
Comme maman me l'a dit une fois, on ne sait jamais de quoi on est capable tant qu'on n'a pas essayé.
Les ombres ne sont que des fantasmes, des images sans substance. Mais elles puisent dans la peur des vivants force et consistance …
Une ombre, c'est un reflet dans l'étang de la mémoire.
"_Pourquoi le font-ils alors ?
_Parce qu'ils sont humains, petit. Et les humains vivent d'espoir. Aussi dramatique soit la situation, ils se persuadent qu'ils peuvent influer sur le cours des événements."
Le monde serait bien différent s’il correspondait à nos désirs. Mais, ce qui compte, c’est la façon dont nous menons notre vie.
- J’aimerais mieux qu’on se passe des sorcières, grommela Jenny. C’est mal.
Arkwright haussa les épaules :
- C’est ce que je pensais autrefois, petite. Que veux-tu, il faut bien survivre ! John Gregory lui-même s’y était résolu. Il s’est allié avec Grimalkin, non ?
Je hochai la tête :
- Oui, il a finalement accepté ce compromis, tout comme moi. C’était ça ou mourir.
Même si je désirais toujours devenir épouvanteur, je commençais à me demander si je ne devrais pas me chercher un autre maître. Le problème était d’en trouver un. Je n’aimais pas Judd, qui travaillait au nord de Caster et dont je savais qu’il désapprouvait l’idée de former une fille. Quant à l’autre épouvanteur que j’avais rencontré le dénommé Johnson, nous nous étions déplu au premier regard. C’était un obsédé de la chasse aux sorcières, une engeance qu’il haïssait. Je le soupçonnais de détester les femmes en général.
La beauté est une chose redoutable ; elle lie un homme plus sûrement qu’une chaîne d’argent n’entrave une sorcière.
Vous êtes dans l'Arene 13, et vous allez assister à un combat fatal. Que ceux qui meurent le fassent avec honneur. Que ceux qui vivent conservent leur souvenir. L'affrontement peut commencer !
La pluie se mit à tomber. Froide, serrée, elle me cinglait le visage. Mon père l'aurait qualifiée de "pluie qui mouille". Toutes les pluies mouillent, évidemment. Mais certaines semblent plus déterminées que d'autres à vous tremper comme une soupe. C'était le cas de celle-ci, et je me hâtais vers la demeure de l'Epouvanteur.
"Les gens apprirent à la craindre. Et la peur est mauvaise conseillère."