HECTOR : Que servir un joueur est un maudit métier !
Ne serai-je jamais laquais d'un sous-fermier ?
Je ronflerais mon soûl la grasse matinée,
Et je m'enivrerais le long de la journée :
[...]
Je deviendrais un jour aussi gras que mon maître.
J'aurais un bon carrosse à ressorts bien liants ;
De ma rotondité j'emplirais le dedans.