Il se figurait apparemment, comme beaucoup de gens, qu’une femme exerçait ce métier dégradant de son plein gré. Elle songea ensuite que certaines le faisaient peut-être par choix, dans l’espoir de trouver un riche protecteur ; mais, pour la très grande majorité des filles, c’était par la force, le mensonge ou par une extrême pauvreté qu’elles étaient amenées là.