Citations de Deborah E. Harkness (250)
– En tant que scientifique, Diana, je peux vous dire qu’il n’existe rien qui soit qualifiable de « normal ». La « normalité », c’est une fable que les humains se racontent pour se réconforter, quand ils sont confrontés à la preuve que presque tout ce qui les entoure est tout sauf « normal ».
-"Ce n'est pas seulement votre odeur qui me plait. J'entends votre sang de sorcière couler dans vos veines, murmura-t-il à mon oreille. Saviez-vous que le sang des sorcières fait de la musique ? Comme une sirène qui enchante le marin, l'enjoint à virer de bord vers son rocher, l'appel de votre sang pourrait être fatal, à moi comme à vous".
Dire non demande du courage, bien plus qu’il n’en faut pour dire oui.
Si tu aimes réellement quelqu’un, tu chériras ce qu’il méprise le plus en lui-même.
-Par le noeud premier, le sort est commencé
-Par le noeud de deux, il entre en jeu
-Par le noeud de trois, il se déploie
-Par le noeud de quatre, nul ne peut l'abattre
-Par le noeud de cinq, sa force croît et vaine
-Par le noeud de six, ce sort je fixe
– Il y a des démons, aussi. Mais leurs yeux ne luisent pas et ils ne sont pas maléfiques. Enfin, pas plus que les autres espèces.
– Les autres espèces ? répéta-t-il, très intéressé. Il y a des loups-garous ?
– Absolument pas ! cria Matthew au loin.
– Sujet délicat.
Ce n'est pas le plus fort de l'espèce qui survit, ni le plus intelligent.
C'est celui qui sait le mieux s'adapter au changement.
[Philippe de Clermont,
souvent attribué à
Charles Darwin]
''Celui qui ne peut plus s'émerveiller ne vaut pas mieux qu'un mort.''
''Je ne meurs ni ne vis ni ne guérit, et si grand soit mon mal, je ne le sens point, car je ne suis point séparé de son amour. Je ne sais si je le gagnerais jamais, car en elle est toute la grâce qui peut m'élever ou m'abaisser.''
''Vous dites que vous m'aimez depuis que vous vous êtes retenue de me donner un coup de rame. Mais je vous aime depuis plus longtemps encore. ''
''Elle écartera les pierres de mon tombeau et me donnera les ailes d'une colombe afin que je puisse voler avec elle au firmament pour y vivre éternellement dans le repos.''
P 26
La simple pensée de ses dent me fit battre le coeur et fourmiller le bout des doigts. Soudain je n'eus qu'une pensée : File d'ici tout de suite.
Les quatre pas menant à l'escalier me parurent le bout du monde. Je devalai les marches, trébuchai sur la dernière et tombai droit dans les bras du vampire.
Evidement, il était arrivé avant moi au bas de l'escalier.
Ses doigts étaient froids et ses bras me parurent fait d'acier plus que de chair. Une odeur de girofle, de cannelle et d'encens remplit l'air. Il me redressa, ramassa mon livre et me le rendit en s'inclinant légèrement.
- Docteur Bishop, je présume ?
Tremblant de la tête aux pieds, j'acquiesçais.
Les londs doigts pâles se glissèrent dans une poche et en sortirent une carte de visite bleu et blanc qu'il me tendit.
- Matthew Clairmont.
- Mais c'est tellement...
- Désordonné ? La vie aussi. Cesse d'essayer d'être parfaite. Essaie d'être vraie, pour changer.
Ce n'est pas le plus fort de l'espèce qui survit, ni le plus intelligent. C'est celui qui sait le mieux s'adapter au changement.
Philippe de Clermont souvent attribué à Charles Darwin
Si les vampires ne racontent jamais rien, c'est pour une bonne raison. Le savoir, c'est le pouvoir, en ce monde.
En tant que scientifique, Diana,je peux vous dire qu'il n'existe rien qui soit qualifiable de "normal". (Son ton s'était durci). La "normalité", c'est une fable que les humains se racontent pour se réconforter, quand ils sont confrontés à la preuve que presque tout ce qui les entoure est tout sauf "normal".
- Vous protéger est devenu instinctif, à présent.
Je citais de nouveau ce qu'avait écrit son démon Giordano Bruno au XVIe siècle :《 Le désir me pousse en avant quand la peur me freine. 》
La "normalité", c'est une fable que les humains se racontent pour se réconforter, quand ils sont confrontés à la preuve que presque tout ce qui les entoure est tout sauf "normal".
- J'ai déjà vu un tel courage, surtout chez des femmes, continua-t-il sans relever. Les hommes ne le possèdent pas. Notre résolution naît de la peur ; ce n'est que de la bravade.
- Les batailles ne se terminent pas simplement parce que quelqu’un a négocié une trêve, dit Matthew. Pour certains soldats, le combat dure jusqu’à la fin de leurs jours et influence tout ce qui se passe ensuite.
« L’odeur de la bibliothèque – ce mélange si particulier de vieilles pierres, de bois vermoulu et de papier de chiffon – ne manquait jamais de me mettre de bonne humeur. Le soleil se déversait par les fenêtres des paliers, illuminant les poussières qui flottaient dans l’air et traçant des barres dorées sur les vieux murs. » p.55
- Au commencement étaient l'absence et les désir, au commencement étaient le sang et la peur, chuchotai-je.
- Au commencement était le livre perdu des sortilèges, répondit le Temps dans un écho venu des origines du monde et qui illumina les filaments bleus et dorés rampant contre les parois de pierre de la salle.