Le hic, c’était que j’aimais aussi l’art. Le dessin, la peinture, et tout le toutim, j’adorais. Il y a une symétrie dans le dessin, un sens inné du placement et de l’échelle qui en appelait à la matheuse en moi. Mais entre les séances de sport après l’école et les cours optionnels de prépa au lycée, c’était un domaine que je n’avais guère eu le temps d’explorer.