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4.27/5 (sur 104 notes)

Nationalité : France
Biographie :

"La Chinoise du tableau" est le premier ouvrage de Florence Tholozan. Il s’agit d’un roman de littérature générale. Édité par Marc Duteil aux Éditions M+ en décembre 2019, le roman "La Chinoise du tableau" a précédemment concouru au Prix du Livre Romantique 2019 des Éditions Charleston pour lequel il a obtenu la troisième place.
Le roman a été récompensé par le Prix Paroles d’auteurs 2020.
Il a obtenu une place de finaliste pour le Prix Régional de Littérature Lions 2021 et pour le Prix des Auteurs Inconnus 2020, après une sélection pour le Prix de la ville de St-Lys 2020. Il a ensuite été classé quatrième sur les dix romans en lice pour le Prix Féminin Pluriel Montpellier Méditerranée 2021, puis a été sélectionné pour le Prix Coup de cœur des Alpilles 2023.
Une traduction en anglais, aux USA, a été publiée en 2022 par les Éditions Harvard Square sous le titre "The Chinese Woman from the Painting", ainsi qu’une version bilingue anglais/français. La version anglaise a été récompensée par le Prix littéraire Nautilus en 2023 (Nautilus Book Awards) et a obtenu des places de finaliste pour le Prix INDIE Book Excellence Awards dans la catégorie « Premier roman », et pour le Prix Chanticleer Book Reviews dans la catégorie « The 2022 Paranormal CIBASs Supernaturel Fiction ».
Il est également traduit et édité en russe, et prochainement en allemand, par les Éditions Drachenhaus Verlag, spécialistes de la Chine, sous le titre "Das bildnis der Chinesin".
Livre audio publié aux Éditions Saga Egmont (version française).

"L’Écho de nos jours", deuxième roman de Florence Tholozan, a été publié en novembre 2022 par le même éditeur. Il s’agit d’un roman de littérature générale également.
Cet ouvrage a obtenu une troisième place de finaliste pour le Prix Régional de Littérature Lions 2024. Il est en lice pour le Prix Féminin Pluriel Montpellier Méditerranée 2024.

"Le Pendentif de jade" est une nouvelle de Florence Tholozan, publiée dans le recueil "Nos Lettres d’Asie : de Saint-John Perse à François Cheng " paru aux Éditions Rencontre des Auteurs Francophones (USA) en 2024.

Les dessins originaux des premières de couverture des romans "La Chinoise du tableau" et "L’Écho de nos jours" ont été réalisés par Florence Tholozan, ainsi que l’illustration de la nouvelle "Le Pendentif de jade". (Pastels sur papier)

Site de l’éditeur : https://mpluseditions.fr/florence-tholozan.html
Blog : https://florencetholozan.over-blog.com/

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Source : auteur
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Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Les paroles de ma grand-mère s'imposent. "Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire", me répétait-elle souvent.
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Florence Tholozan
Mon objectif était d'atteindre la marque à hauteur de sa taille à lui, la plus haute de la famille. Constater que je m'en approchais chaque jour un peu plus, me rassurait. Quand, enfin, mon encoche a daigné dépasser celle de mon paternelle, au lieu d'en éprouver l'orgueil escompté, j'ai réalisé avec effroi que, si lui ne grandissait plus, il continuait de vieillir. Et à cet instant-là, alors que je n'étais déjà plus un enfant et que mon père n'était plus une montagne, j'aurais voulu que plus rien n'évolue et profiter de mes parents, d'égal à égal.
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Province du Guangxi,Sud-est de la Chine
24 août 1907

Shushan,

Tout le monde me connaît aux alentours.
Cependant ,il serait plus exact de dire que l'on croit me connaître .On me rencontre quotidiennement ,on m'adresse la parole ,on me sourit......
Néanmoins personne ne sait l'essentiel ,jusqu'à mon nom de naissance. Nul n'imagine qui je suis en réalité. Ceux qui m'appellent Sushan sont les rares survivants d'une lointaine époque où je n'étais qu'une petite fille.Ils se comptent dorénavant sur les doigts de la main.( Page 11) .
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L'écriture est un enchantement que l'on s'offre à soi-même, une liberté aussi, un refuge, un havre de paix, un épanouissement. Dans ces moments de solitude heureuse, le lecteur n'est jamais loin. Il est une entité abstraite, lointaine, mais il est là. Car on écrit pour diffuser des rêves, des histoires, des pensées, pour transmettre des souvenirs des connaissances...
Alors, quelle fabuleuse récompense pour celui qui écrit que d'être lu !
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Les Balinais font preuve d'une telle délicatesse ! La valeur accordée à l'esthétisme se retrouve dans chacun de leurs gestes.
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Je me dis que c'est lors de ces moments - dans ces instants anodins, ces mimiques, ces œillades, ces gestes, ces demi-mots, ces silences... dans tous ces détails, si infimes soient-ils - que l'amour transparaît.

Page 46
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Remonter à la surface, retrouver sa place dans la turbulence de la vie, un pincement au cœur qui persiste, celui de l'avoir perdu, lui. Respirer l'air libre et poursuivre sa journée. Se laisser enrober par la chaleur étouffante d'un Paris au mois d'août avec ses senteurs de bitume fondu, et n'y prêter aucune attention. Marcher sans distinguer grand-chose, alors que le bel inconnu du métro ne cesse de s'interposer par bribes, au milieu des pensées les plus impénétrables. Croiser des gens et chercher des ressemblances afin de préciser une réminiscence qui pourrait bien finir par s'évaporer complètement. Se rendre à l'évidence qu'il n'est absolument pas possible de reconstituer son portrait, que ce qu'il en reste est cruellement fuyant, parfaitement insaisissable : il paraît, presque, vous narguer.

Page 22
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l'amour est comme un élastique. A force de l'étirer, il se distend. Parfois il se casse.
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Nous ressentons l'intuition de nous voir pour la deuxième fois,quand nos regards ,miroirs de l'âme, se croiseront.
Et,indubitablement, nous éprouverons les uns envers les autres,des sentiments véritablement profonds,enrichis au fil du temps.
Des sentiments ,qui nous étonneront, tant par leur force que par leur évidence.
Une simple impression de déjà-vu.(Page315).
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PROLOGUE

Comté de Galway ,République d'Irlande
1938
Brighid

Je suis ce que nous appelons communément une orpheline ,une enfant illégitime pour plus de précision.
Une âme perdue.
Les soeurs de l'ordre de St Mary's Mother and Baby Home recueillirent le nourrisson que j'étais ,abandonné un matin de décembre au nord de Galway sur le perron de la cathédrale Notre- Dame -de-l'Assomption.Elles l'appelèrent Brighid et subvinrent à ses besoins durant l'âge tendre.( Page 9).
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